Présentation

Le centre d’art

Un lieu dual

Réunion de deux espaces de monstration complémentaires et à proximité l’un de l’autre – La Villa Beatrix Enea et la Galerie Georges-Pompidou -, le centre d’art contemporain de la Ville d’Anglet est le fleuron d’une politique de soutien en faveur de l’art contemporain initiée par la Ville il y a plus de quarante ans. Il a pour mission de promouvoir la scène artistique contemporaine française et internationale à travers une programmation exigeante d’expositions, la proposition de résidences et la production d’œuvres. Une activité éditoriale est pensée en complément de chaque projet sous la forme d’éditions limitées, ou d’une collection de catalogues d’exposition présentant les œuvres dans ses salles.

Le centre d’art s’appuie aussi sur les collections, une singularité féconde qui permet d’établir des passerelles entre création d’hier et d’aujourd’hui grâce au fonds de la Ville d’Anglet, riche de plus trois mille cinq cents œuvres. Un cycle d’expositions assure sa diffusion (40 ans et plus ! – 2020 / Collection Valentine et Jean-Claude Marcadé, une exposition d’amitiés et de goût-2022) et d’une manière générale, une attention est portée aux collections publiques et privées partenaires (Fans des années 80, collection Quasar-2021, Figure-Toi, Hervé Di Rosa et les collections du Musée international des arts modestes-2022).

Le centre d’art conçoit aussi son action à la rencontre des publics dans leur diversité, dans une dynamique de transdisciplinarité, de sensibilisation, de partage des savoirs et d’expériences esthétiques ou participatives, d’éducation et de décryptage d’un monde complexe et polyphonique.

Le Centre d’art est un établissement culturel de la Ville d’Anglet géré par la Direction des Affaires Culturelles, du Patrimoine et du Jumelage.

Le centre d’art assume sa mission d’intérêt général tant au service de la création contemporaine que des publics.

Une ligne artistique singulière

La programmation du centre d’art a été mise en place progressivement dans une volonté d’éclectisme et de confrontation. Elle porte une attention au territoire (Azur, Pascal Convert-2017), à la scène artistique du Sud aquitain (Vaste Monde #1 et #2- 2018 et 2021), à la question de l’in situ (World Wide Wave, Gilles Barbier-2017,  Suite galiléenne, Raphaël Zarka-2019, Lumière naturelle versus lumière électrique, travaux in situ versus travaux situés, Daniel Buren-2023). Il est demandé aux artistes de prendre en compte le lieu qui accueille leurs œuvres en leur donnant les moyens de produire des œuvres spécifiques, réalisées pour les projets du centre d’art.

L’autre engagement consiste à défendre la pluralité des parcours et le travail des artistes emblématiques de l’histoire de l’art (Terrain de “Je”, Ben, Combas, Parant-2019, Lumière naturelle versus Lumière électrique, travaux situés versus travaux in situ, Daniel Buren-2023).